Petit sonnet écrit en cour aujourd'hui

Silence et Temps d'Été


Silence pressant presque indescent
Silence meurtrier et si peussant
Silence présent depuis ton départ
Mon cœur hagard s'égare

Temps d'hiver, saison solitaire
Temps d'été, mon cœur s'effondre
Temps printanier, seul sur terre
Mon coeur s'abandonne a l'ombre

Temps si pressé de s'écouler
Feuilles du jour et mousse de rosée
S'effeuillent et se noient

Dans le fléau de mes émois
Ton visage se perd
Mon cœur se désespère